Les premières prunes Lovita® d’Afrique du Sud disponibles aujourd’hui sur les marchés européens
Lovita®, la prune à chair rouge en forme de cœur sélectionnée par l’éditeur de variétés fruitières French Fruit Lovers, revient sur les marchés européens dès aujourd’hui, grâce à son partenaire producteur sud-africain RuBisCO (Pty) Ltd et distribuée par Apifood, Boyer SAS et Vergers Cancel. A l’image de la saison française, la campagne d’Afrique du Sud promet d’être réussie : « Nous sommes très satisfaits de la dernière campagne française, bien qu’elle fût plus courte que prévu. Les ventes ont en effet été très dynamiques, s’étendant de septembre à la mi-octobre. En attendant que la campagne 2022 de Lovita® françaises ne commence, nous allons proposer au consommateur de l’origine sud-africaine. Une campagne qui commence sous les meilleurs hospices puisque la production s’est jusqu’ici très bien déroulée », rapporte Monika Kujundzic, Chargée de Communication pour Lovita®.
« Avec l’Afrique du Sud, nous pouvons proposer à nos clients un fruit très gourmand, bien calibré à un moment commercialement très pertinent. En effet, les fruits à noyaux sont encore peu présents dans les rayons. Et en cette fin d’hiver, dans un contexte mondial plutôt austère, les consommateurs ont besoin de garder le moral et de faire le plein de vitamines » confie Niels Saglibene, responsable commercial Fruits d’été, Boyer SAS.
Les producteurs d’Afrique du Sud arrivent effectivement à produire une Lovita® identique à la Française en termes de goût, de sucre et d’arômes. « Les calibres sont également très beaux cette saison. Nous travaillons ensemble depuis quelques années pour que les producteurs soient en ligne avec la qualité que nous attendons. En Afrique du Sud, pays qui exporte beaucoup, il y a une certaine tendance à ramasser les fruits plus tôt dans les vergers pour optimiser la durée de conservation. Afin de récolter le plus tard possible tout en garantissant une qualité optimale de prune et une bonne conservation du fruit, nous avons beaucoup échangé sur les techniques culturales avec les producteurs », explique Monika Kujundzic.
